Mardi-mercredi 21 mai: direction, Safaga

Suite à de longs adieux car « on ne sait jamais », nous avons pris la route, destination : Genève. Le trajet a duré entre 4 et 5 heures, notamment à cause du cher Berlingot prêté par le collège. Mais pour certaines, grâce au talent énigmatique de M. Labedade qui s'est avéré être un excellent chanteur plein de ressources, le temps est passé plutôt vite. Arrivés vers environ 2h du mat', l'aéroport n'ouvrant qu'à 4h, nous avons dû attendre patiemment. Certains ont même réussi à s'endormir, ce qui n'était pas le cas, bien entendu, des insomniaques (Hm hm, n'est-ce pas Ilona ?). Après nous avons pu commencer à embarquer. Pour certains c'était le début de la galère ; valises trop grandes, le portique de sécurité qui bipe, … et pour couronner le tout le stress qui monte. Heureusement, le départ pour Hurghada à 6h 20, a eu lieu sans encombres et à même permis à certains de rattraper leur très très courte nuit de sommeil. Nous quittions Genève sous la pluie et le brouillard et nous arrivions sous une chaleur déjà lourde, et un grand ciel bleu à Hurghada vers 10h 30 … Visa en main, nous avons suivi Fred Lombard jusqu'au fameux bus qui a eu la bonne idée de nous lâcher 1km avant l'hôtel. Nous avons donc pu admirer le splendide paysage égyptien, fascinant et déconcertant à la fois.



Après avoir pris nos dispositions dans nos chambres respectives et après notre premier repas à Safaga, nous nous sommes tous jetés dans la piscine. A 17h, suite à une excellente après-midi piscine, nous sommes allés essayer notre matériel de plongée. 


Une fois tout le monde équipé même Berthe et ses grands pieds, nous sommes allés nous promener dans Safaga. 

Nous ne sommes pas passés inaperçus, auprès notamment des « taxis brousse » qui nous voyaient comme des proies faciles. Ensuite, après cette balade, nous avons tous eu envie de retourner à l'eau. Certains ont même goûté au plaisir de la gamelle. Après une « bonne douche », avec un bon pommeau et de la pression, sans commentaires, nous sommes allés manger tous ensemble. Visiblement épuisés, les yeux rouges, baillant aux corneilles, nous ne nous sommes pas attardés à table. Tout le monde, sauf le 3ème âge, a donc regagné sa chambre en vue d'une bonne nuit fraîche de sommeil.

Léana